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Eric Clapton "
slowhand" . |
Né à Ripley, dans le Surrey au
Royaume-Uni, Eric Clapton est le fils
naturel d'un soldat canadien et d'une
jeune anglaise de 16 ans. Son père,
parti combattre en Europe peu après sa
naissance, est ensuite retourné au
Canada. Sa mère étant encore trop
jeune pour s'occuper de lui, le jeune
Eric est confié à ses grands-parents
maternels (dont le nom, Clapp, est à
l'origine de la fausse rumeur selon
laquelle le véritable nom du guitariste
serait Clapp). Il sera plus tard définitivement
abandonné par sa mère, partie à son
tour au Canada au bras d'un autre
soldat.
L'histoire de sa naissance resta
longtemps un secret de famille, et
l'enfant n'apprend qu'à l'âge de 9 ans
que ceux qu'il croyait ses parents ne l'étaient
pas, et que sa prétendue grande sœur
était en réalité sa mère. Le choc
est terrible pour Eric.
L'enfance de Clapton ne se passe pas
sans accrocs - il a plus tard confessé
avoir été un "sale gosse".
Peu attentif à l'école, il faillit même
abandonner l'apprentissage de la guitare
- il avait reçu sa première acoustique
en cadeau pour ses 13 ans - qu'il
jugeait trop difficile ! Postier
pour gagner quelques sous, il intègre
la classe de design de l'École d'Art de
Kingston, dont ses résultats médiocres
lui valent d'être rapidement renvoyé.
Encore adolescent, Eric Clapton puise
son inspiration musicale - il est
finalement parvenu à jouer un peu de
guitare - dans le blues américain :
Big Bill Broonzy, Muddy Waters, Elmore
James, Howlin' Wolf et surtout Robert
Johnson, le légendaire bluesman du
Mississippi. Surnommé par ses amis
"Eric the mod" en référence
à ses vêtements qui rappellent le
mouvement mods, il commence vers 1962 à
fréquenter des clubs de musiciens comme
le "Ealing club" de Londres,
dans lequel se produisent notamment les
Rolling Stones. Il les accompagnera même
occasionnellement comme ... chanteur !.
Peu confiant à l'époque envers ses
talents guitaristiques, il déclare :
« J'en fais un peu; j'ai bossé
quelques trucs de blues depuis un
moment; rien de sérieux.».
C'est pourtant l'apprentissage par cœur
d'un album de Chuck Berry qui lui permet
finalement d'intégrer en mars 1963 son
premier groupe : les Roosters.
Il joue avec eux jusqu'au mois d'octobre
de la même année, puis, lorsque le
groupe se dissout, rejoint Casey
Jones And The Engineers en même
temps que Tom McGuiness (l'ancien
bassiste des Roosters).
Mais cette nouvelle association ne
dure qu'un mois : Clapton, qui a déjà
acquis une certaine réputation en tant
que guitariste, est embauché par les
Yardbirds, qui seront son premier groupe
véritablement professionnel.
Les
Yardbirds
Avec l'arrivée de Clapton, les
Yardbirds commencent à véritablement décoller.
Petit groupe de rock and roll comme tant
d'autres, très influencé par le blues,
ils ne jouent aucune composition
personnelle, se limitant à des morceaux
de blues issus des catalogues Chess,
Checker ou Vee-Jay. Succédant aux
Rolling Stones comme groupe résident du
légendaire Crawdaddy Club de
Richmond, ils deviennent un groupe culte
parmi les jeunes anglais branchés fans
de blues. Leurs premiers singles, I
Wish You Would et A Certain Girl,
sont des succès relatifs, et ils
partent même en tournée en 1963 avec
le bluesman américain Sonny Boy
Williamson, enregistrant ensemble un
album qui sortira plus tard à la fois
comme un disque des Yardbirds et de
Williamson !
Clapton, de son côté, crée peu à
peu son style personnel : façon de
jouer bien sûr, synthétisant de manière
révolutionnaire les influences de Buddy
Guy, Freddie King et B.B. King, mais
aussi de s'habiller. Cette forte
personnalité, ainsi que ses talents de
guitariste (pourtant assez peu mis en
avant sur les premiers enregistrements
du groupe), lui valent d'en devenir le
principal soliste.
Devenant rapidement une figure
importante de la scène anglaise, il se
fait un surnom : Slowhand, référence
ironique à la vitesse, extraordinaire
pour l'époque, à laquelle il joue, ou
jeu de mots sur slow-hand clap
(applaudissements exprimant l'impatience
ou le mécontentement du public). Mais
en mai 1965, le premier vrai succès du
groupe, For Your Love coïncide
avec le départ du guitariste, mal à
l'aise à cause de cette chanson trop
« commerciale ».
En effet, à cette époque, Clapton
est encore un fanatique de blues
authentique, qui considère comme une
trahison de jouer autre chose que des
reprises de grands bluesmen. De plus,
les paroles de For Your Love sont
l'œuvre de l'auteur de variétés
Graham Gouldman, connu pour son travail
avec des groupes pour adolescents tels
que Herman's Hermits ou The
Hollies. Recommandant le jeune Jimmy
Page à ses collègues, Clapton part
donc rejoindre les Bluesbreakers de John
Mayall, que nul ne peut soupçonner de
trahison envers le blues...
John
Mayall and The Bluesbreakers
Parti se reposer à Oxford chez Ben
Palmer (l'ancien guitariste des Roosters),
Clapton ne reste pas inactif très
longtemps après son départ des
Yardbirds : dès mars 1965, John
Mayall lui propose de rejoindre les
Bluesbreakers. À l'époque, le groupe
est déjà une référence du R&B
britannique, Clapton accepte donc la
proposition. Echangeant sa Fender
Telecaster contre une Gibson Les Paul
Standard pour un son plus authentique et
puissant, Clapton joue avec passion, et
assoit sa réputation d'instrumentiste
prodige. Ce qui ne l'empêche pas de
manquer parfois de sérieux, allant
jusqu'à rater certains engagements ...
Lassé par la routine des concerts dans
les night-clubs, il abandonne en août
1965 les Bluesbreakers pour se joindre
à un groupe composite supposé
parcourir le monde : The Glands.
L'intention première de ce groupe de
« musiciens voyageurs » était
de parcourir le monde dans un autobus à
deux étages, en jouant un peu partout.
Une épopée qui s'achève rapidement en
Grèce, d'où ils reviennent sans un sou
après avoir eu un accident de la route
et s'être presque fait kidnapper à Athènes.
Clapton reprend donc dès octobre 1965
sa place au sein des Bluesbreakers ...
Son escapade avec The Glands n'a
nullement entamé la réputation de
Clapton, qui devient peu à peu une véritable
idole, et gagne un nouveau surnom :
sur les palissades et dans le métro de
Londres fleurit l'inscription « Clapton
is God » (Clapton est Dieu).
Un nouveau statut difficile à assumer
pour le jeune guitariste, qui hésite
dans ses déclarations entre la
conviction qu'il possède des « pouvoirs »
et leur dénégation.
En mars 1966, Clapton, Mayall et les
Bluesbreakers enregistrent l'album
« John Mayall's Blues Breakers
With Eric Clapton ». Considéré
encore aujourd'hui comme un monument du
British Blues Boom, le disque connaît
un grand succès, mais son titre,
ambigu, ne satisfait ni les membres des
Bluesbreakers, ni Clapton qui trouve que
son nom « se voit moins que celui
de John Mayall ». Quand l'album
sort, Clapton a déjà quitté le
groupe. Il vient en effet de former avec
Jack Bruce et Ginger Baker un « supergroupe »
qui deviendra bientôt Cream.

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Ses guitares . |
Eric Clapton reste lié à l'image de guitares
mythiques, et en particulier certaines, qui
l'accompagnent depuis des années :
- la Fender Telecaster, dans les années
Yardbirds
- la Gibson Les Paul, dans les années
Bluesbreakers et début Cream
- la Gibson SG, dans les années Cream
- la Gibson ES-335, également dans les années
Cream et qui a fait l'objet d'une série limitée
chez Gibson en 2005
- la Fender Stratocaster noire, Blackie,
récemment vendue aux enchères chez Christie's
- la Fender Stratocaster multicolore, Crash
3, également vendue aux enchères
- la Fender Stratocaster dorée Gold Leaf
de 1996. Elle fut fabriquée par le Fender Custom
Shop pour Eric à l'occasion du 50ème anniversaire
de la firme américaine. La Gold Leaf
Stratocaster comprenait un corps en aulne séléctionné
couvert de paillettes en or massif de 24 carats avec
un accastillage assorti au corps, un manche en érable
flammé au profil "V" adouci avec 22
frettes moyennes, des micros actifs Lace Sensor Gold
avec un circuit TBX et un mid-boost actif de
25 dB, des mécaniques Kluson traditionelles et un
chevalet vibrato "bloqué". Clapton
utilisa cette guitare au Festival de Jazz de
Montreux (Suisse) en 1997.
- la Martin 000-42, jouée notamment sur
l'album MTV Unplugged
- le synthétiseur de guitare GR-505 du géant
japonais des synthétiseurs Roland, utilisé dans
certains morceaux du disque Edge of Darkness,
sorti en 1985. Cette guitare au coloris Candy
Apple Red (pomme rouge sucrée), fabriquée en
1982, fut également utilisée dans l'album Behind
the Sun, paru quelques mois avant la sortie de
la série télévisée Edge of Darkness et
vendue aux enchères en 1999.
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Les
années noires . |
Au
début des années 70, la vie de Clapton
devient pour le moins chaotique :
la fin tragique de Derek and the
Dominos, groupe qui avait pourtant
commencé sous les meilleurs auspices,
et son amour malheureux pour Patty Boyd
plongent le musicien dans la déprime.
Il cesse d'enregistrer et d'apparaître
publiquement, et se retire dans sa résidence
du Surrey. Plus grave, il commet la même
erreur tragique que nombre de musiciens
de son époque, en cherchant consolation
et oubli dans l'héroïne. Commence une
terrible période de dépendance à
cette drogue qui le marquera à vie :
durant trois ans, Clapton n'enregistre
pas, et ne sort de sa retraite qu'à
quelques rares occasions comme le
concert pour le Bangladesh organisé par
George Harrison en août 1971. Le public
peut alors avoir un aperçu de l'état
de délabrement de sa santé :
Clapton s'évanouit sur scène, et doit
être réanimé avant de continuer à
jouer.
C'est un autre musicien qui l'aidera
à sortir de cette spirale infernale :
Pete Townshend, guitariste des Who et
ami de Clapton fonde un singulier
supergroupe (2 ex-membres de Blind
Faith, 2 ex-Traffic, plus Ron Wood,
Townshend lui même et quelques autres)
et pousse Eric à en prendre la tête
pour deux concerts au Rainbow Theatre de
Londres en janvier 1973. Clapton y
apparaît diminué, son jeu abîmé par
ses trois années de dépendance, mais
il est bien vivant, et Townshend atteint
son but : lui montrer qu'il peut
encore s'en sortir. Le concert produit
l'effet escompté : Clapton suit
ensuite une cure de désintoxication, et
parvient à surmonter son addiction à
l'héroïne. Mais ses problèmes
personnels ne sont pas terminés :
s'il est parvenu à se débarrasser de
son problème de drogue, il retombe
encore régulièrement dans
l'alcoolisme, malgré des succès
discographiques qui s'enchaînent.
Libéré de l'héroïne, ayant entamé
une liaison avec Patty Boyd-Harrison
(qui finira par l'épouser en 1979),
Clapton monte en 1974 un groupe pour
enregistrer un nouvel album solo, 461
Ocean Boulevard. Inspiré par son
voyage en Jamaïque l'année précédente,
au cours duquel il avait rencontré le
jeune et encore inconnu Bob Marley, le
disque comprend peu de solos de guitare,
préférant mettre l'accent sur la
qualité des chansons. Il remporte un très
grand succès et, grâce à la reprise
de I Shot the Sheriff, lance à
la fois la carrière internationale de
Marley et la vague du Reggae en
Occident.
Les années suivantes voient Clapton
continuer à sortir des albums, qui se
situent musicalement dans la lignée de 461
... plutôt que de Derek and the
Dominos : peu de solos et des
chansons mieux écrites. Clapton veut dépasser
sa réputation de "plus grand
guitariste du monde" (le titre
original et ironique de l'album There's
one in every crowd de 1975) pour
devenir un auteur de chansons reconnu.
Mais cette nouvelle tendance n'est pas
toujours comprise par le public, et les
albums remportent des succès inégaux,
le plus réussi, de l'avis des médias
comme du public, étant Slowhand,
qui contient les tubes Wonderful
Tonight (une chanson d'amour inspirée
par Patty Boyd) et Cocaine (une
reprise du bluesman blanc J.J. Cale)
Mais les ennuis de Clapton ne sont
pas terminés pour autant : le
musicien continue à boire bien plus que
de raison, et en 1976, déclenche une
violente polémique en tenant des propos
à tendance raciste lors d'un concert à
Birmingham. Considérant le Royaume Uni
comme "trop plein", il appelle
le public à voter pour le politicien
d'extrême droite Enoch Powell, afin d'éviter
que le pays ne devienne une
"colonie noire". Ces propos,
qui font écho à ceux d'artistes comme
David Bowie ou Siouxsie Sioux à la même
époque, provoquent un tollé général,
et sont sans doute pour beaucoup dans la
création du mouvement anglais Rock
Against Racism. Refusant à l'époque de
revenir sur ses déclarations, et
affirmant (dans une interview à Q
Magazine) ne pas voir de
contradiction entre elles et son amour
pour la musique noire, Clapton finira
par les attribuer à son état
passablement alcoolisé au moment des
faits.
"Quand j'ai dit ça, j'étais
complètement ivre. Et comme tous les
gens ivres, je racontais n'importe quoi.
Quel crédit peut-on porter aux propos
d'un poivrot ? Moi ce qui m'étonne
le plus, ce n'est pas ce que j'ai pu
dire, mais c'est d'avoir été capable
de jouer ensuite !" D'autre
part, de nombreux faits vont contre la
thèse d'un Eric Clapton chanteur du
racisme : outre les inspirations
noires prééminentes dans sa musique,
il a partagé la scène à de très
nombreuses reprises avec des artistes
noirs (Buddy Guy, B.B. King, Robert
Cray, et plusieurs membres de son propre
groupe de scène, dont le claviériste
Greg Phillinganes, le batteur Steve
Ferrone et le bassiste Nathan East), et
a eu une liaison avec le top model noir
Naomi Campbell.
A la fin des années 1970,
l'alcoolisme de Clapton devient
critique, et il doit être hospitalisé,
puis à suivre une cure à Antigua (il y
installera plus tard un centre de désintoxication
entièrement financé par lui, le Crossroads
Center). Comme pour la plupart des
autres musiciens légendaires des années
60, les années 80 ne sont pas la
meilleure période de Clapton : les
quelques disques qu'il réalise doivent
se plier à la mode des synthétiseurs
et des boîtes à rythme. Ce qui n'empêche
pas August, sorti en 1986 et
produit par Phil Collins, d'être l'un
de ses plus grands succès. Il part
ensuite pour une tournée de deux ans
aux côtés de Collins et remporte des récompenses
pour son travail (dont le British
Academy Television Award pour ... la
B.O. de la série Edge of Darkness,
diffusée par la BBC en 1985). Cette période
fut entre autres marquée par
l'utilisation pour la première fois
d'un synthétiseur de guitare dans
certains morceaux du disque homonyme.
L'album Journeyman, enregistré
en 1989 avec l'aide de pointures comme
George Harrison des Beatles, Robert
Cray, Darryl Hall, Chaka Khan, Mick
Jones du groupe The Clash et Phil
Collins de Genesis confirme aux yeux du
public la renaissance artistique de
Clapton.
Mais, encore une fois, le guitariste
n'a guère le temps de profiter de son
succès. En 1985, il rencontre Yvonne
Khan Kelly, avec qui il a une petite
fille, Ruth. Cette liaison, puis celle
avec le mannequin italien Lory Del Santo,
qui lui donne en 1986 un fils, Conor, mènent
à son divorce de Pattie Boyd en 1988.
Puis, deux tragédies majeures
affectent Clapton au cours du début des
années 1990. Tout d'abord, la mort, le
27 août 1990, du guitariste Stevie Ray
Vaughan, alors en tournée avec Clapton.
Vaughan se trouve avec deux membres de
son équipe dans un hélicoptère qui s'écrase
lors d'un trajet entre deux concerts.
Clapton est d'autant plus choqué qu'il
devait initialement faire partie du vol,
avant de laisser sa place à Stevie Ray
Vaughan.
Pire encore, le 20 mars 1991, son
fils Conor, âgé de quatre ans, meurt
brutalement des suites d'une chute du
53e étage, par la fenêtre de
l'appartement de Clapton. Effondré,
celui-ci racontera ses émotions dans la
chanson Tears in Heaven.
Le renouveau
En 1991, Eric Clapton pousse son
vieil ami, l'ex Beatle George Harrison,
à reprendre la route. Ils commencent
par une tournée au Japon où Eric et
George reprennent les vieux standards de
ce dernier. Une tournée européenne est
prévue mais avortée. Un enregistrement
en public est cependant disponible :
Live In Japan.
Mais le véritable grand retour de
Clapton sur la scène musicale se fait
en 1992 avec l'album Unplugged, où
il reprend en public et en acoustique
des standards de Blues et ses propres
chansons. L'album, qui contient
notamment une version de Layla
qui deviendra un tube, remporte un
immense succès. Le guitariste confirme
ce retour à ses premières racines
musicales en 1994 avec l'album From
The Cradle, entièrement constitué
de reprises de vieux (voire très
vieux) morceaux de Blues. Clapton y démontre
sa maîtrise hors du commun de tous les
styles de Blues à la guitare électrique.
Ce disque fut le plus grand succès
commercial de l'année 1994.
Les années suivantes, Clapton
partage son temps entre des
collaborations avec Carlos Santana et B.
B. King, qui remportent un immense succès,
et des albums de musique électronique (Retail
Therapy en 1997, puis Pilgrim
en 1998), qui déchaînent beaucoup
moins d'enthousiasme. Sortant régulièrement
des nouveaux albums suivis de tournées,
le guitariste semble même avoir trouvé
un certain bonheur conjugal et
domestique auprès de Melia McEnery,
qu'il a épousée en 2002.
En 2002, Clapton organise et dirige
le Concert for George au Royal
Albert Hall de Londres , en hommage à
son ami de toujours George Harrison,
mort d'un cancer du pancréas un an plus
tôt. Le concert réunit notamment Paul
McCartney, Ringo Starr, Jeff Lynne, Tom
Petty et Ravi Shankar.
En 2005, Eric Clapton reforme Cream
avec Jack Bruce et Ginger Baker pour une
série de concerts qui se tiennent les
2, 3, 5 et 6 mai au Royal Albert Hall de
Londres ainsi qu' au Madison Square
Garden de New York quelques mois plus
tard. Les concerts sont enregistrés et
font l'objet d'une publication sous
forme de DVD et CD à la fin de la même
année.
Parmi les albums sortis par Clapton
ces dernières années, on remarque
entre autres Me & Mr Johnson
(2004), disque de reprises du bluesman
Robert Johnson, qui est depuis toujours
la plus grande influence du guitariste,
et sa collaboration récente (novembre
2006) avec la légende du Blues blanc
J.J. Cale, The Road to Escondido.
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